Guerre

Licenciement de Rachid M’Barki : de l’ingérence en France ?

C’est une bombe qui vient d’exploser : avec le licenciement de Rachid M’Barki, c’est tout un système frauduleux au service d’entités étrangères qui est pointé du doigt. Le consortium de journalistes d’investigation du projet « Story Killers » a révélé l’un des plus importants montages de propagande du XXIe siècle.

La France peut-elle encore être le gendarme de l’Afrique occidentale ?

Le rappel de l’ambassadeur français du Burkina Faso le 26 janvier apparaît à première vue comme une nouvelle déconvenue diplomatique pour la France, dont la présence militaire est par ailleurs contestée dans cette partie de l’Afrique. Or, cette décision pourrait être l’occasion de repenser les positions françaises, confrontées à la complexité politique, sécuritaire et internationale de la région.

Ecowatt, ou le symbole d’une perte de souveraineté énergétique française

L’Étudiant Libre Emmanuel Macron nous avait prévenus : l’abondance, c’est terminé. Il semblerait que l’énergie, en particulier l’électricité, n’échappe pas à cette funeste prédiction. Alors, comment pallier ce manque d’énergie auquel la France devra faire face cet hiver ? Le gouvernement est clair sur la question : seule la « sobriété énergétique » nous tirera d’affaire. Ce plan, annoncé en […]

Jupiter contre les hommes

Nous ne savons pas, à l’heure où ses lignes prennent forme, à quel point la guerre livrée en Ukraine impactera le déroulement de l’élection présidentielle. Ce dont nous sommes certains en revanche, c’est qu’Emmanuel Macron n’a pas hésité à pervertir la bannière bleue et jaune pour laquelle se sacrifient les Ukrainiens, et à la confondre avec celle, à la fois si ressemblante et si étrangère, de l’Union Européenne, pour laquelle personne ne veut mourir.

La guerre en Ukraine et le retour du tragique

« L’Histoire est tragique » disait Raymond Aron. Vouloir une armée puissante, un pays souverain, maître de ses frontières passait pour quelque chose de démodé, de réactionnaire. « Vous êtes pessimistes, vous voulez la guerre ! » disait cette génération qui ne l’avait pas connue, pensant que les conflits en Europe étaient d’un autre temps. Ils ne comprennent pas que les lanceurs d’alerte ne sont pas les va t’en guerre, que les traités de paix ne se concluent qu’entre Puissances, d’où la nécessité de peser dans les relations. De là vient le précepte si vis pacem, para bellum !

Quand l’Action devint verbe, ou l’incapacité à agir face à la Russie

Dans un article paru en 1982, Claude Lefort se vantait de cette démocratie, qu’il qualifiait d’ « évènement du pouvoir comme lieu vide ». Et il y a de quoi : le gouvernant n’est plus celui qui incarne la politique – il en est le représentant, le relais auprès du peuple, assemblé dans cette union que seule la pure et parfaite politique permet. Mais voilà, la fable connaît un hic : la décision. Qui prend la décision, la forme et la rend définitive, de sa conception à sa finition ? Bonne question. Car ce lieu vide, de toute émotion comme de toute capacité à entreprendre réellement bute aujourd’hui sur la Russie.

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