Macron

Retour sur le programme d’Emmanuel Macron

Le jeudi 17 mars dernier, Emmanuel Macron présentait son programme de campagne autour de trois grandes « convictions philosophiques » : le « retour de la souveraineté populaire », la « confiance dans le progrès » et « l’humanisme ». Retour sur les principaux objectifs fixés par le président-candidat lors d’une conférence de presse aux Docks de Paris, à Aubervilliers, devant près de 300 journalistes français et étrangers.

Le programme d’Emmanuel Macron : entre mépris et procédure

Le président de la République a donné un coup d’accélérateur à sa campagne jeudi 17 mars après-midi, en exposant pendant plus de quatre heures son programme économique devant un parterre de journalistes. L’occasion de renforcer de nouveau sa posture présidentielle et de candidat sérieux, et surtout de se présenter comme le candidat de tous les Français.

Tribune de la Cocarde Étudiante – « Cinq ans de plus ? Non merci ! »

Cette fin de règne est interminable, insupportable, invivable. Il faut remonter à loin pour retrouver de telles restrictions de nos libertés, que plus rien pourtant ne justifie et dont l’efficacité sanitaire n’a jamais été prouvée. Nous le regrettons mais, non seulement depuis le début de la pandémie mais depuis 2017, aucune mobilisation populaire n’aura permis d’affaiblir suffisamment ce pouvoir au point de le faire renoncer. Il reste cependant une carte à jouer : infliger à Emmanuel Macron une défaite dans les urnes.

Zemmour-Le Pen : comparaison objective des programmes

A quelques mois des élections présidentielles, force est de constater que la jeunesse nationale, à l’heure où tant de défis et de menaces planent sur son avenir, n’est jamais apparue aussi divisée. La double-candidature de la Droite nationale a brillamment parachevé ce que le schisme Le Pen/Mégret n’avait pas réussi à produire, scindant les patriotes en deux camps quasi-ennemis, à la grande jubilation des partis ploutocrates et des fossoyeurs de la Nation.

La retraite est-elle vouée à disparaître : qu’en pensent nos candidats ?

Le 9 mars 2022, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a confirmé la mise en place d’un allongement progressif de l’âge de la retraite à 65 ans, par le candidat Emmanuel Macron, s’il était réélu. Heureusement il n’est pas le seul ! Comment s’organise le système de retraite en France ? Quel est son avenir et comment une telle réforme est-elle envisagée pour les autres candidats ?

La figure de l’homme providentiel

Avant même sa déclaration de candidature le 30 novembre 2021, beaucoup d’électeurs affirmaient qu’Éric Zemmour, candidat de Reconquête !, était le « nouvel homme providentiel » qu’attend la France depuis de longues années afin de la sauver d’un déclin, d’un danger de mort face à l’islamisme. L’occasion de nous intéresser à cette question de la figure de l’homme providentiel et de sa pertinence à l’heure actuelle.

Appel aux patriotes poutinophiles : la politique du pire est la pire des politiques

L’Étudiant Libre L’auteur de cet article n’est pas spécialiste en géopolitique et ne tient pas à l’être, mais il en appelle au bon sens de ses compatriotes parfois égarés. Qui, dans nos rangs, aime Macron ? Personne. Il est l’incarnation du cosmopolite ultralibéral anti-national le plus consommé. Qui aime Poutine? Peut-être pas tout le monde, […]

Invasion de l’Ukraine : impacts sur trois candidats

L’invasion de l’Ukraine par la Russie enclenchée dans la nuit de jeudi, provoque un déchaînement de réactions au sein de la classe politique française, en particulier à l’encontre du candidat de Reconquête ! Sa faute : avoir assumé une certaine admiration pour le président russe et avoir douté de l’invasion de l’Ukraine. Une occasion pour les Républicains pour attaquer leur concurrent, et un moyen pour renforcer la posture du président.

Course aux parrainages : et si tout s’arrêtait ?

La campagne va bon train, dans tous les QG les équipes s’activent, les téléphones sonnent et les attaques fusent. Alors que des milliers de militants mettent tout en œuvre pour voir leur candidat triompher, une question est dans tous les esprits : et si nous n’avions pas les 500 parrainages ?

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