Le féminisme à l’assaut de l’Occident ?
Membre du Parti populaire du Canada, Ali Nmyes témoigne d’une dynamique contemporaine inquiétante et revendicative : le féminisme mal digéré.
Membre du Parti populaire du Canada, Ali Nmyes témoigne d’une dynamique contemporaine inquiétante et revendicative : le féminisme mal digéré.
Inaugurant un tour du monde littéraire par Nathaniel Hawthorne, portons donc aujourd’hui nos regards vers l’Amérique du XVIIe siècle, déjà en proie à ses contradictions entre rigueur religieuse et désir de liberté, vécues à travers le destin d’une pécheresse.
De nos jours, les néo-féministes modèlent le bon visage des hommes, elles sélectionnent dans la nature de ce sexe ce qui est plus « sain » et ce qui serait « toxique » pour créer un masque masculin idéal. Inconsciemment, je l’imagine, elles reproduisent plus furieusement encore le traitement réservé aux femmes par le passé. Cette tentative chirurgicale peut tenir dans un concept, celui de la « toxicité masculine ».
Ce mardi 8 mars, un collectif de femmes s’est voulu être à l’initiative d’un blocus à l’université Sorbonne, supposément en soutien aux étudiants boursiers qui ne peuvent sécher les cours pour se rendre aux manifestations du 8 mars, sous peine de voir leur bourse suspendue pour non-assiduité. La mobilisation était prévue toute la matinée, avant de rejoindre une manifestation en faveur d’une grève féministe, à la gare du Nord.