Depuis le début du XXe siècle, le féminisme s’est développé dans les sociétés occidentales et a apporté des changements importants pour la reconnaissance des droits des femmes. Cependant, au fil des années, le féminisme moderne est devenu un mouvement identitaire qui s’est détaché de son objectif initial pour devenir un outil de domination ayant pour but d’écraser les hommes.

En effet, la société occidentale est actuellement confrontée à un scénario où les hommes sont devenus des boucs émissaires d’une société rongée par un féminisme totalitaire qui ont infiltré de nombreuses institutions occidentales. Les hommes subissent des stéréotypes négatifs et des discriminations à l’embauche en raison de leur sexe. Les hommes blancs en particulier sont victimes d’une forme nouvelle de racisme qui vise à les neutraliser et à les bannir de la société sous prétexte que leur masculinité et leur virilité les rendraient « toxiques ».

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Les féministes modernes et les mouvements progressistes cherchent à effacer la masculinité en la définissant comme la cause de tous les maux. L’objectif est le lavage de cerveau de la jeunesse pour tenter de changer les modèles sociaux et la famille, en travaillant spécialement sur le contrôle mental à travers les médias et les systèmes éducatifs.

Des conférences dans les universités sont organisées pour promouvoir une idéologie qui s’attaque à la virilité masculine et qui soutient que les traits masculins sont toxiques pour les femmes et la société dans son ensemble. Les jeunes garçons se voient enseigner qu’il est mal de se comporter en tant que tel, tandis que les filles sont encouragées à adopter des comportements masculins pour se substituer aux stéréotypes de genre.

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Par ailleurs, la protection de l’image des femmes dans la publicité et les médias est devenue une question de priorité, comparée aux hommes qui sont maintenant des figures violentes et perverses. Ainsi, certains groupes féministes imposent l’idée que les femmes sont parfaites par nature, contrairement aux hommes, qui sont tous considérés comme des violeurs en puissance.

La tyrannie des minorités a instauré un sentiment de confusion chez les jeunes, un sentiment de paranoïa et de haine chez les femmes. Ceux qui prétendent combattre les divisions et les injustices se retrouvent à diviser les sexes et à les supprimer.

On aura alors remarqué l’apparition de plusieurs mouvements traditionalistes qui suggèrent qu’il est grand temps de réexaminer la place de l’homme dans la société. Il est impératif de reconnaître son rôle dans la famille, dans l’économie, dans la culture et dans la société.