L'Étudiant Libre

Sciences Po Lyon réitère sa « semaine genre et inclusion »

À l’IEP de Lyon, une véritable propagande a été mise en place. Créée l’an dernier, la « semaine genre et inclusion » est de retour sur le campus ! L’Étudiant Libre a pu obtenir des explications sur le déroulé de cette semaine particulière.

Sciences Po Lyon organise sa « semaine genre et inclusion ». Il s’agit d’une semaine obligatoire pour tous les étudiants de deuxième année qui s’étendra du lundi 02 au vendredi 06 mai. Selon notre sourcee de la Cocarde Étudiante présente sur ce campus, il s’agit de la deuxième édition de cette semaine, initiée l’an dernier.

Porté par le syndicat « Solidaires », cet évènement se voulait être une journée non obligatoire. Mais l’administration de Sciences Po Lyon a préféré l’imposer durant une semaine à tout le monde. Les étudiants du campus de Saint Étienne doivent également y participer ; ils devront alors faire l’aller-retour chaque jour en bus ! Cet évènement se tiendra à quelques jours des partiels : il faut mettre les étudiants dans de bonnes conditions.

Au programme : de nombreuses conférences données par des professeurs et des intervenants vacataires, majoritairement de gauche, n’ayant pas la même retenue que les professeurs habituels. L’an dernier, un des intervenants était Floyd Novak, un élu écologiste de Villeurbanne, en banlieue lyonnaise. Son intervention a évidemment été très orientée, avec un appel à voter pour Europe Écologie Les Verts. L’étudiant Libre, a pu se procurer l’emploi du temps de cette semaine. On y trouve des conférences comme « Usage du terme patriarcat », ou bien « Genre et inclusions sociales ».

Des travaux de groupe de coefficient 2 devront être rendus à l’issue de cet évènement. Il s’agit du même coefficient que la plupart des matières enseignées durant le semestre, comme le prouve le tableau ci-dessous.

Aucun barème de correction n’est prévu. La note donnée à ces travaux sera à l’entière appréciation du correcteur.  À noter que les étudiants ne peuvent choisir la constitution des groupes de travail, seule l’administration se réserve ce droit, mais peut accepter, dans sa grande bonté, un changement de groupe à la demande de l’étudiant. En cas d’absence ou de travaux non-rendus, des sanctions à l’encontre des étudiants peuvent être prises par la direction de l’établissement.

Prenons conscience qu’à l’IEP de Lyon, une véritable propagande wokiste est imposée à tous les étudiants. Il faut croire que son administration, ou plutôt ces idéologues administratifs, doivent être passionnés par le Viet Minh pour organiser de telles sessions de rééducation.

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