L'Étudiant Libre

L’avènement du progressisme, nouvelle religion occidentale, régit désormais les pensées d’une civilisation agonisant dans un bain de sang déconstructeur. Aucun thème n’est épargné par les principes presque dogmatiques de cette morale qui rejette la grandeur, l’honneur, les traditions, l’identité et la stabilité.

Comment s’y retrouver dans ce brouhaha inclusif et ce pseudo-intellectualisme ravageur ?
Progressisme, François Vimard
François Vimard, 22 ans, cherche à déceler la vérité derrière ce flux incessant d’informations et de désinformation issu de la propagande progressiste. Son essai, fruit d’un travail de deux ans, est inédit par la pluralité des sujets traités et l’oeil avec lequel ils sont décortiqués. Ainsi, l’immigration, la question identitaire, le néo-féminisme, l’écologie, l’abrutissement massif et la surconsommation sont analysés sous le prisme politique, économique, social, philosophique et scientifique.

Ce livre ne se contente pas de mettre en avant les symptômes d’une civilisation occidentale malade, mais d’en comprendre les raisons, tout en proposant quelques solutions pour y remédier. Il fournit au lecteur des clés de compréhension, des arguments, des sources et des exemples qui permettent d’apprendre, d’approfondir sa connaissance du progressisme, de poser des mots sur des pensées et des intuitions, et d’aider à démonter le discours du responsable UNEF de sa faculté.

L’immigration est contextualisée historiquement, puis il est question de l’assimilation. Doit-on encore y croire ? Si oui, comment mettre en place une politique assimilationniste ou intégrationniste ? François Vimard déclare ensuite sa flamme à la France pour embrayer sur le communautarisme qui la met gravement en danger. Enfin, après avoir mis en avant les conséquences de l’électoralisme et de la lâcheté politico-médiatique, il montre qu’on ne peut pas dissocier le monde économique et financier de l’immigration, en soulignant la responsabilité de l’ensemble des partis politiques des cinquante dernières années, et le lien entre l’antiracisme, la naissance des luttes horizontales et l’accroissement des inégalités sociales.

La partie sur le féminisme est sûrement la plus piquante tant celui-ci est fondé sur un nombre phénoménal de leurres et de mensonges. Il s’agit d’abord de démystifier une bonne fois pour toutes la pseudo inégalité de salaires entre les hommes et les femmes, de démonter les nouveaux combats farfelus et la théorie du genre qui constituent le cheval de Troie de cette idéologie victimaire, tout en soulignant ses paradoxes. Enfin, le soi-disant caractère subversif du féminisme est évincé en illustrant ses intérêts économiques et sociétaux par des exemples historiques méconnus du grand public.

À travers « Progressisme », François Vimard insiste donc sur l’interconnexion et la participation de tous ces combats sociétaux à l’affaiblissement progressif de la nation française et de la civilisation occidentale [...].

Le combat écologiste, désormais incritiquable bien que méconnu et incompris de la grande majorité de l’opinion publique, est déchiffré de manière quasi-exhaustive. A-t-on encore une raison de douter de l’intensité ou même de l’existence du changement climatique ? Quelles raisons pousseraient le système à mentir sur ce sujet ? Certaines priorités écologiques sont-elles occultées ? Quel est l’impact du monde financier, de la mondialisation sauvage et de l’électoralisme sur l’écologie ? Que penser des énergies renouvelables ? À travers la partie la plus novatrice de cet essai, et en utilisant plus de cent références scientifiques, François Vimard apporte son point de vue sur ce pilier du progressisme.

Le couplage consommation-abrutissement est ensuite disséqué pour montrer qu’il participe largement à l’accroissement de la puissance du progressisme. Un parallèle est fait entre l’abrutissement consumériste, la crise du Covid-19, l’ère technologique et la
surconsommation de pornographie, de rap et de malbouffe.

L’auteur consacre la dernière partie de son essai à une anticipation du futur de notre nation et de l’évolution du système politico-médiatique, dont il souligne la volonté insatiable de s’adapter perpétuellement pour combler son désir d’implanter durablement le progressisme. Il alerte notamment sur les conséquences néfastes du traitement actuellement peu efficace de la notion d’islamo-gauchisme et de la question identitaire.

À travers « Progressisme », François Vimard insiste donc sur l’interconnexion et la
participation de tous ces combats sociétaux à l’affaiblissement progressif de la nation
française et de la civilisation occidentale, et entend bien contribuer au grand réveil de ces masses anesthésiées pour éviter de reléguer la France et l’Occident à l’état de souvenir…

Progressisme, François Vimard
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