Le combat écologiste, désormais incritiquable bien que méconnu et incompris de la grande majorité de l’opinion publique, est déchiffré de manière quasi-exhaustive. A-t-on encore une raison de douter de l’intensité ou même de l’existence du changement climatique ? Quelles raisons pousseraient le système à mentir sur ce sujet ? Certaines priorités écologiques sont-elles occultées ? Quel est l’impact du monde financier, de la mondialisation sauvage et de l’électoralisme sur l’écologie ? Que penser des énergies renouvelables ? À travers la partie la plus novatrice de cet essai, et en utilisant plus de cent références scientifiques, François Vimard apporte son point de vue sur ce pilier du progressisme.
Le couplage consommation-abrutissement est ensuite disséqué pour montrer qu’il participe largement à l’accroissement de la puissance du progressisme. Un parallèle est fait entre l’abrutissement consumériste, la crise du Covid-19, l’ère technologique et la
surconsommation de pornographie, de rap et de malbouffe.
L’auteur consacre la dernière partie de son essai à une anticipation du futur de notre nation et de l’évolution du système politico-médiatique, dont il souligne la volonté insatiable de s’adapter perpétuellement pour combler son désir d’implanter durablement le progressisme. Il alerte notamment sur les conséquences néfastes du traitement actuellement peu efficace de la notion d’islamo-gauchisme et de la question identitaire.
À travers « Progressisme », François Vimard insiste donc sur l’interconnexion et la
participation de tous ces combats sociétaux à l’affaiblissement progressif de la nation
française et de la civilisation occidentale, et entend bien contribuer au grand réveil de ces masses anesthésiées pour éviter de reléguer la France et l’Occident à l’état de souvenir…