Anouilh

L’Hurluberlu de Jean Anouilh, ou la tragédie moderne

« Qu’est-ce que vous voulez que cela me foute, à moi, que ce soit agréable ? C’est dégoûtant ! Vous voyez où cela nous a menés ! A la musique sans se donner la peine d’en faire, au sport qu’on regarde ; aux livres qu’on ne fait même plus l’effort de lire (on les résume pour vous, c’est tellement plus commode et plus vite fait), aux idées sans penser, à l’argent sans suer, au goût sans en avoir (il y a des magazines spécialisés qui s’en chargent). Truquer ! Voilà l’idéal. » Acte I.

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