Agression violente contre Éric Zemmour : révélateur de l’impunité de la Gauche envers la violence

Une séance de dédicaces d'Éric Zemmour à Brest a été le théâtre d'une attaque violente perpétrée par des groupes d'extrême-gauche, dont des membres de la CGT, des Antifas et des soutiens de Jean-Luc Mélenchon. Des adolescents et des personnes âgées ont été pris pour cibles, tandis que les médias ont minimisé les faits en parlant de simples "affrontements". Cette violence, haineuse et antidémocratique, met en évidence l'impunité dont bénéficie la Gauche dans le pays, tandis que les réactions politiques et médiatiques restent étonnamment silencieuses.
Source : Eric Zemmour vient à Gujan ce vendredi signer son livre "Je n'ai pas dit mon dernier mot" © Maxppp
Source : Eric Zemmour vient à Gujan ce vendredi signer son livre "Je n'ai pas dit mon dernier mot" © Maxppp

Ce week-end, une attaque très violente a frappé une séance de dédicaces d’Éric Zemmour à Brest.

Les responsables ?

La CGT, des Antifas, des soutiens de Jean-Luc Mélenchon, des groupes communistes et d’autres groupes d’extrême Gauche. Ils s’en sont pris d’abord aux vitrines et aux meubles, puis ensuite aux personnes participant à l’évènement, c’est-à-dire majoritairement des adolescents et des personnes âgées.

IMG_6048 – Trim – Trim

Ce sont plus de 300 personnes d’extrême-gauche, dont une soixantaine de membres de groupes violents d’ultra-gauche qui ont commis cette terrible agression.

Le bilan est d’au moins 2 adolescents blessés, des personnes âgées traumatisées et des dommages matériels impressionnants. Et pourtant, les médias, sympathisants de la Gauche, ont qualifié ça de simples « affrontements entre l’extrême-droite et l’extrême-gauche » allant jusqu’à recouper des vidéos pour appuyer leur version. Or, en réalité, l’histoire est très claire et il faut expliquer la chose comme elle s’est produite : des groupes d’extrême-gauche ont usé de la violence pour s’en prendre à des individus en raison de leurs croyances politiques. C’est un crime haineux et antidémocratique.

Éric Zemmour et son parti Reconquête! ont annoncé dans un communiqué qu’une plainte sera déposée contre la CGT.

Le plus surprenant, c’est que bien que les faits soient d’une gravité déconcertante, l’affaire n’a pas eu l’écho gravissime qu’elle devait avoir dans le pays. La même chose commise par un individu d’extrême-droite aurait, très probablement, conduit à une réaction médiatique bien plus supérieure. C’est une réalité tangible qu’aujourd’hui à l’exception de quelques médias, cet événement n’a été relayé et condamné qu’au sein de communautés de Droite. Alors que Génération Identitaire a été dissoute pour une banderole et des fumigènes, tous ces groupes d’extrême-gauche ne seront jamais dissous malgré leurs actes violents et répétitifs contre des églises, des personnalités politiques, des individus (de Droite) ou encore les forces de l’ordre.

Sur cette vidéo, on peut constater très clairement les groupes d’extrême-gauche habillés en noir qui sont en train de casser les vitres et de lancer des pierres et des pavés à l’intérieur. Pire encore, on peut également distinguer la voix d’une personne âgée qui crie désespérément pour ensuite constater les dégâts d’un lynchage à dix d’un pauvre adolescent isolé et désarmé qui voit son sang couler depuis sa tête dans la vidéo qui suit.

Cette situation est tout simplement très révélatrice du monopole de la violence illégitime que la Gauche a en toute impunité dans le pays. Les méthodes de ces groupuscules sont connues et redondantes et pourtant, cette attaque n’a été condamné ni par le président de la République, ni par le ministre de l’Intérieur. D’ailleurs, à l’exception des sympathisants d’Éric Zemmour (Jean Messiha, Bruno Attal) et quelques exceptions notoires (Jordan Bardella, Nicolas Dupont-Aignan, David Lisnard), la grande majorité de la classe politique dans son ensemble n’a pas réagi. Même écho dans les médias où Valeurs Actuelles apparait bien seul dans sa condamnation de l’acte commis. Ce sont les conséquences des politiques de déshumanisation de la Gauche et plus particulièrement de la France Insoumise qui parle de « diaboliser l’extrême-droite » ou encore, « diaboliser les fachos ». Comme si le fait d’être de Droite était un crime et que les Français qui pensent ainsi devraient être déshumanisés et n’avoir aucun droit. Cette diabolisation dangereuse est pourtant bien illégale au regard des lois et de la Constitution française. La Gauche française est aussi anti-démocratique que le Gouvernement centriste qu’elle dénonce depuis la réforme des retraites. Pendant qu’on parle de protéger la liberté d’expression et de référendum sur toute sorte de sujet, la Gauche, elle, parle d’interdire des partis politiques, de mettre en prison certaines personnes comme Éric Zemmour ou Damien Rieu mais aussi, de restreindre la liberté d’expression pour ne plus entendre des personnes comme Thaïs d’Escufon, Papacito ou encore des historiens comme Bernard Lugan. Ils parlent d’interdiction des signes religieux, partout sauf pour les musulmans, ils parlent d’interdire Noël dans les mairies et les écoles, mais s’assurer d’avoir du halal à la cantine, que les filles puissent mettre leurs voiles et leurs abayas dans l’école et que les fêtes musulmanes soit fériées ou célébrées (Ramadan, Aïd, etc…).

Pour combien de temps, encore, les institutions corrompues garderont le silence concernant leurs alliés de la Gauche française ? Combien de drames encore faudra-t-il pour faire tomber l’hypocrisie mortifère de nos élites politiques ?

A lire également : Tribune – La mort jusque dans les poussettes

Ali Nmyes

Ali Nmyes

Ali Nmyes est Vice-président de Nouvelle Génération PPC (Aile jeunesse du Parti Populaire du Canada) et rédacteur pour l’Étudiant Libre
Agression violente contre Éric Zemmour : révélateur de l’impunité de la Gauche envers la violence
Retour en haut