« Le réarmement civilisationnel passe par une réappropriation des codes vestimentaires. (...) Faisons de notre habit un signe de contradiction. » Le Chouan des villes, "L'Homme classique"
Comment se targuer d’être de droite ou vouloir promouvoir le Beau lorsque l’on s’habille comme les trans et les féministes wokes de notre université ? Notre habit, c’est notre façon d’apparaître au monde. Bien s’habiller, c’est se comporter d’une certaine manière et élever le regard des autres. Rien de pire qu’un gars en jogging claquettes-chaussettes, offrant au monde sa paresse au nom soi-disant du confort (drôle de nom pour parler de la médiocrité…). Que dire également des femmes avec leurs mini-jupes ultra-courtes ou leurs habits provocants pour « se sentir bien » alors qu’elles ont juste besoin pour attirer le regard, car elles n’ont pas confiance en elles. Steak humain livré à tous les regards, corps démocratique sans rareté coupant tout désir pour l’homme de le dévoiler, car il s’exhibe déjà à tous…
Bien s’habiller, c’est vouloir le Beau pour soi et pour les autres, c’est se réinscrire dans la longue tradition de l’élégance qui a triomphé dans la culture française. Loin des talonnettes et des joues poudrées des cercles aristocratiques décadents, l’élégance c ‘est prendre soin de son corps, car il est le temple de l’esprit. Certes, l’esprit ou le « fond » est plus important que cette forme, mais, quand on l’aime, on le chérit en exaltant sa beauté, comme un écrin travaillé pour contenir un joyau. Habillez-vous bien donc, non pas pas pour vous montrer orgueilleusement, mais pour témoigner silencieusement de la beauté de votre culture.
Pour ceux qui réfuteront qu’ils n’aient pas d’argent pour bien s’habiller, il n’y a pas d’excuses : les secondes mains sont légions, que ce soit en friperies ou sur Vinted. Et puis la qualité, ça se paie et ça dure plus longtemps que vos baskets en plastique confectionnées par des ouvriers pakistanais sous-payés. Une seule devise : la qualité plutôt que la quantité.