Depuis quelques années le féminisme se banalise. Tout comme le bio, les véhicules électriques ou l’IVG, « c’est bien d’être féministe ». Le féminisme, d’après l’Académie française, est un « mouvement social qui a pour objet la reconnaissance ou l’extension des droits de la femme dans la société. » On peut remarquer le fait que même dans la définition de l’Académie française on voit cette idée et cette vision de la femme recluse et bridée.
Le féminisme se banalise et, disons-le, il n’est pas normal d’être féministe. Combien de fois ai-je entendu « Comment ça tu n’es pas féministe ? T’es contre les femmes, tu soutiens les violeurs, etc. » Non, il n’est pas normal de devoir dire que le viol est un crime, il n’est pas normal de dire que siffler une femme ou la suivre dans la rue sont des actes honteux et des comportements déviants. Seulement dire que si l’on n’est pas féministe on est tout cela, c’est tenir un propos déviant envers les hommes qui sont respectueux de la gente féminine et envers toutes ces femmes qui en ont assez d’être associées à un mouvement dans lequel elles ne se reflètent pas.
Un autre des combats des féministes est le droit à l’IVG avec « mon corps, mon choix » comme credo.
Mais il est évident que le corps d’autrui qu’est celui qu’est l’enfant à naître ou l’embryon vu comme un vulgaire amas de cellules ne font pas partie du droit des femmes. L’enfant à naître doit être protégé des dérives du féminisme car ce mouvement veut s’approprier la vie d’autrui. Seulement l’enfant à naître ne peut pas se défendre ni être défendu car il n’a pas de droits. Nous devons donc nous battre pour que soit reconnu le droit de l’enfant à naître afin qu’il ne soit pas associé à celui de la mère, dans le but d’empêcher un génocide de masse car l’IVG est un infanticide. Tout cela permettra surtout de donner la chance à l’enfant à naître de vivre.
De plus, lorsque l’on regarde le but visé par ce mouvement on voit en tête de liste « l’abolition de la société patriarcale ». Mais disons-le, cette société n’existe pas. Aujourd’hui les femmes sont cadres dans des entreprises, elles font de la politique et dirigent des partis ou des pays (Marine le Pen, Theresa May, Angela Merkel …). Le gouvernement Macron illustre ce changement avec le poste de Marlène Schiappa en tant que Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes. Notre société a tellement changé qu’en Octobre 2020 l’Assemblée Nationale a voté le doublement du congé paternité de 14 à 28 jours, dont 7 jours obligatoires. (Le texte devrait entrer en vigueur à compter du 1er Juillet 2021).
Très loin de l’image pacifiste, les féministes modernes sont violentes. L’embrigadement est tel que cela génère une violence, mais cette violence s’oriente vers les hommes. Cela à un nom : la Misandrie
La solution à tous les maux du féminisme « contemporain » vient des femmes elles-mêmes : Le collectif Némésis .« Le Collectif Némésis est né en Octobre 2019, à l’initiative d’un groupe d’amies, lassées d’entendre les supercheries
J.S