Une justice à contre sens ?
L’agresseur de Marin, le jeune homme qui avait été laissé pour mort en 2016 à Lyon après avoir défendu un couple qui s’embrassait, a vu sa demande de libération conditionnelle acceptée. C’est une véritable « incompréhension » explique Marin pour Le Parisien.
La décision est toujours en suspens car le parquet a fait appel.
L’avocat de l’agresseur explique que cette demande de libération se fait dans le cadre d’un projet professionnel.
L’agresseur du jeune Marin, condamné à 7 ans et demi de prison pourrait être libéré sans avoir effectué la moitié de sa condamnation.