A quelques mois des élections présidentielles, force est de constater que la jeunesse nationale, à l’heure où tant de défis et de menaces planent sur son avenir, n’est jamais apparue aussi divisée. La double-candidature de la Droite nationale a brillamment parachevé ce que le schisme Le Pen/Mégret n’avait pas réussi à produire, scindant les patriotes en deux camps quasi-ennemis, à la grande jubilation des partis ploutocrates et des fossoyeurs de la Nation.